Vis ma vie de Formateur @Peaks Med
Grégory, Formateur Angular et consultant chez Peaks Méditerranée
Quels sont tes rôles chez Peaks ?
Depuis trois ans, je suis consultant lead tech fullstack et architecte logiciel. J’accompagne également les équipes via du mentoring technique ou méthodologique et je parraine les nouvelles recrues. Pour le Peaks Training Club, je dispense des formations Angular, ma technologie de prédilection.
Quel a été le chemin pour devenir formateur Angular au sein de Peaks Training Club ?
J’avais déjà donné des cours à Supinfo. C’est donc tout naturellement que j’ai eu envie de poursuivre cet exercice de style au sein de Peaks Méditerranée.
Qu’est-ce que cela t’apporte pour ta carrière d’être formateur ?
C’est très enrichissant. Cela développe l’empathie, tu apprends à t’adapter à la façon d’apprendre de tes apprenants, au niveau d’avancement dans lequel ils se trouvent… J’adore être là au moment où tout s’allume, où une notion est comprise et intégrée. J’ai eu la chance, dans mon apprentissage, de croiser des professionnels qui m’ont aidé à développer mon savoir-faire. Pour moi, il s’agit d’artisanat qui se partage, qui se transmet.
Cela nourrit aussi ma pratique. L’expérience engrangée en tant que formateur me sert sur ma fonction de lead tech, qui nécessite là aussi des qualités d’accompagnement et d’empathie. Côté veille technologique, cela exige d’être toujours à jour. Lorsqu’on anime une formation, il faut être en mesure de répondre à la quasi-totalité des questions.
Quels sont les retours de tes apprenants ?
Ce qui ressort souvent c’est qu’ils apprécient d’avoir affaire à quelqu’un de terrain avec qui échanger sur les problématiques rencontrées dans leur quotidien. Ils plébiscitent la transmission des bonnes pratiques, des tips et autres exemples concrets issus de mes différents projets. Rien n’est dogmatique mais tout est éprouvé.
Quels sont tes conseils pour un consultant qui a envie de devenir formateur ?
Je lui dirais de croire en lui. Il est vrai que l’exercice peut sembler impressionnant mais une fois immergé dans la pratique, le stress disparait. L’aisance qu’on obtient en s’exerçant à la prise de parole en public lui servira dans tous les domaines. Je lui conseillerais également d’être à l’écoute, de solliciter du feedback pour s’ajuster au fur et à mesure et instaurer le dialogue avec les participants. Il est important d’observer l’auditoire pour détecter les signaux faibles, voir si tout le monde suit… Enfin, il vaut mieux éviter de trop noter au risque de lire ou de réciter afin de maintenir l’énergie communicative d’un échange.