Recherche et Innovation – ITW Jules
Peux-tu nous présenter ton poste de Responsable Recherche et Innovation chez Peaks?
Ma mission principale est de créer, animer et gérer la cellule Recherche et Innovation, et ses projets innovants chez Peaks, en interne, avec nos collaborateurs. La première condition pour cela a été de mettre en place l’infrastructure nécessaire en interne (notamment notre propre Gitlab) mais aussi une méthode de travail adaptée au fonctionnement de ces projets. Aujourd’hui, je suis principalement occupé par BeeObs, un projet qui ambitionne de réduire la mortalité des abeilles. Je m’y investis autant en terme de management qu’en tant que développeur. J’assure également une veille technique et recherche très active sur les différentes technos présentes chez Peaks. D’abord dans un but de partage de la connaissance, mais aussi pour trouver les axes de recherches pertinents pour les prochains projets R&I de Peaks.
Qu’est-ce qui te fait lever le matin?
Un bon réveil couplé à la motivation de participer à un projet de Recherche tel que celui de BeeObs. Plus largement, c’est l’opportunité de travailler sur plusieurs défis autour du développement, de la recherche, du management, etc… Donc peu de routine et beaucoup de diversité dans mes fonctions!
D’où te vient ton intérêt pour la recherche?
Ce qui me plaît le plus dans le développement, c’est l’étape de prototypage, de découverte. Dans la plupart des projets, c’est une étape surtout concentrée au lancement du projet, qui doit se terminer le plus rapidement possible. Dans le cadre de la recherche, cette étape est beaucoup plus importante, puisque le prototypage, au cœur de l’innovation, se fait sur des technologies, des méthodes, des techniques innovantes, donc nouvelles sur lesquelles nous n’avons pas de recul.
Quel est le projet qui t’intéresse le plus chez Peaks?
Sans surprise le projet BeeObs! Déjà pour son objectif de sauver les abeilles et parce qu’il est très challengeant. C’est un projet de recherche vraiment complet, au niveau des défis techniques et théoriques, et qui demande même quelques connaissances du métier d’apiculteur. Ce sera un modèle de haut vol à suivre pour les prochains projets R&I qui seront lancés par notre cellule.